D'abord, on écrit "vis-à-vis", sauf erreur.
Et on écrit "le Président de la République" (à la rigueur, on peut supprimer les majuscules, c'est attesté dans plusieurs textes, par exemple de dépêches A.F.P., A.P. ou Reuters parfois, même, ou en tout cas dans des articles, contributions, commentaires et autres critiques et remarques de-ci, de-là, et là par contre j'ai un doute sur les traits d'union mais peu importe), pas "Sarko". On n'a pas encore demandé en bonne et due forme en tout cas, à ma connaissance, et respectueusement, s'il lui seyait d'être ainsi surnommé, appelé en tout cas, tout comme "Nicolas", qui est un peu cavalier, primesautier ou rapide et surtout sujet à confusion en tant que tel (plein d'autres hommes et moins hommes, sans aucune référence, s'appellent, enfin se prénomment, en tout cas, Nicolas, également, par ailleurs, aussi, non ? que je sache... que nous sachions, d'ailleurs !).
Après ces mises au point, je trouve moi aussi (je dis, enfin écris, "moi aussi" car je ne pense pas être le seul, mais je n'en sais rien après tout) que l'attitude des médias (cette tournure est en soi problématique, j'en conviens également -- même type de remarque que pour "moi aussi" précédemment) est en très grande généralité, et pour ne pas dire, malheureusement je trouve, très souvent, empreinte d'une sorte de complaisance béate qui ne dit pas son nom et se cache derrière une grille de débit rapide voire super-rapide, ou par des "sujets" (des reportages) "à la va-vite" sur les bords voire plus que sur les bords, qui nous laissent, en tout cas qui me laissent, pantois, interdit, avec un mal de crâne épouvantable, un goût d'amertume, d'incrédulité, un "mal-à-l'aise" persistant mais finissant heureusement toujours par s'apaiser. Mais ce n'est pas nouveau, les équipes précédentes tous azimuts depuis plusieurs années voire dizaines d'années nous ont "habitués" à tout ce genre de fatras que je qualifierais sans honte ni vergogne me concernant de "pseudo" voire "para-" journalistiques. Alors un de plus, un de moins, dans la série des nominations, coups de pantoufles ("pantouflages", dit-on, m'a-t-il semblé), coups de pouce, ruses et stratagèmes éphémères voulus ou moins évidents certes mais bien visibles, sensibles, laissant songeur (et non très rêveur, à tout le moins), et même en évitant au maximum qu'on puisse la personnalisation sur tel voire telle, on peut quand même se poser finalement et "définitivement" la question, enfin comme on dit, surtout, "des questions" sur tout cela.
Comment cela va-t-il se poursuivre, pourquoi se sent-on semble-t-il "obligé" d'en arriver à de telles étrangetés, pour ne pas dire procédés suspects, malvenus, malséants, nauséabonds, frisant ou abordant la complaisance déplacée, je ne le sais pas.
Quoi qu'on en dise et même si la perfection n'est pas de ce monde, je trouve tout de même que des périodes de gauche nous ont plus donné confiance, respect, mutuel de surcroît, crédibilité, honnêteté, probité même voire, et autres processus (ou procédés) dignes de confiance, sans toujours ou même sans souvent avoir à se poser des questions comme en ce moment en ce début de nouveau quinquennat de droite, certes avec changement d'un certain nombre d'éléments du décor, pour être à mon tour un peu ironique voire pourquoi pas cynique ou même "chien", je l'assume puisque je trouve "qu'on en est là".
Donc je ne pense pas qu'à priori les journalistes et autres sbires et simplement personnes, personnels comme on le dit, ou autres, gravitant dans le monde médiatique actuel, qui reste divers au moins sur la grille d'un papier, sur les lignes d'un document, etcetera (on écrit et on prononce bien ainsi, pas *"excetra", ni même "excétéra" ou pourquoi pas comme on l'entend encore bien souvent et trop pour moi "excès-t'es-rat" (pfff...)), que ces gens soit "soumis" en tant que tel, au départ en tout cas. Mais à force, oui de fait, on assiste à une véritable inondation virtuelle mais bien réelle, si on me suit dans ce que je cherche à exposer, de la plupart, de la quasi-totalité, du très grand ensemble médiatique actuel, par une allégeance de fait, une "soumission" presque, une conviction profonde ou plutôt une certitude à toute épreuve, qu'il faut "être dans la ligne du parti" et sinon "suivre les modes", "suivre la ligne du parti en place et de son chef, que je ne nommerai pas sauf si le reportage ou la discussion, le ''bout de gras'' qui se présente et/ou s'ensuit le concerne en tant que tel". Parti pouvant vouloir signifier ceci ou cela. Cela dit et comme nous l'ont répété les deux ex-candidats, "Vive la République, et vive la France", si je peux me permettre avant de "voir la suite", qui m'inquiète autant que du temps du prédécesseur.
C'était long mais on ne peut me semble-t-il pas répondre naïvement ou "bêtement", "candidement", "béatement" même, pourquoi pas, facilement, aisément, directement "oui" à la question qui nous préoccupe ici sans tomber dans une critique à l'emporte-pièce apparemment, dont mon développement précédent et qui se termine bientôt là donne une contribution que je souhaite utile, pour reprendre une idée de vote antérieurement employée, utilisée jusqu'à en être sans doute involontairement, la plupart du temps, galvaudée, voire usurpée, mais les circonstances m'ont certes semblé l'exiger à moi aussi.